| Re: Angers, cité laboratoire ? [2940] |
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| Posté le : 05/02/2005 à 09:37 (Lu 7793 fois) |
Ouest-France, 5/02/2005
Citation
samedi 5 février 2005
L'agglo et le département pour un pôle électronique
Jean-Claude Antonini, président d'Angers Loire métropole et Christophe Béchu, président du conseil général, veulent recruter un chargé de mission. Pour accompagner les mutations et structurer un véritable pôle informatique-électronique, « dans un esprit de combat ». Ils en ont fait l'annonce hier soir, à la Maison de la Technopole, « symbole de l'innovation », en réponse au plan social de Nec.
Les deux élus ont d'ores et déjà fixé quatre missions : favoriser une politique spécifique de création d'entreprise ; explorer et recenser les compétences dans les entreprises et l'enseignement supérieur ; favoriser la diversification et la prospection dans le software appliqué au végétal, la santé, le recyclage et les équipements automobiles ; accompagner les mutations par des plans de formation. L'agglo, le département et la région veulent y associer les chambres consulaires, les professionnels et les forces vives, dans le cadre du contrat de site. « Le but est d'aller au-delà d'un pôle de main d'oeuvre pour s'orienter vers un pôle complet, qui comprend également la matière grise et l'innovation. »
Ils demandent à l'État, pour les entreprises qui délocalisent comme Nec ou qui sont en difficulté, d'intervenir sur le fond et sur la forme, auprès des actionnaires et des décideurs. « Je me suis toujours battu pour Nec, pour obtenir de nouveaux marchés, a insisté Jean-Claude Antonini. J'attends donc, de la part de cette entreprise, une implication et une collaboration effectives. » Voilà pour l'aspect technique, les deux élus se refusant à dramatiser la situation. « Nous avons vécu un drame il y a quelques années, avec ACT. Il ne s'applique pas à Nec. Ce n'est pas une fermeture de site. Prenons acte mais ne nous laissons pas paralyser par l'émotion. Il reste 700 emplois. Nec Japon se porte bien. Il peut rebondir. » Et Christophe Béchu de conclure : « Soyons combatifs ! » |
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3350] |
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| Posté le : 08/02/2005 à 16:18 (Lu 7776 fois) |
Batiactu, 8/02/2005
Citation
La plus importante opération de rénovation d’Angers depuis la guerre
Grâce à un vaste programme de rénovation urbaine de plus de 223 millions d'euros sur 4 ans, les élus de la ville d’Angers présentent le projet comme la plus importante opération de reconstruction engagée depuis la Libération.
Un peu plus d'un mois après la signature par Jean-Louis Borloo, le ministre de la Cohésion sociale, de la convention qui lie Angers à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), la ville a présenté lundi après-midi le détail du plan aux bailleurs sociaux et entreprises du bâtiment appelées à s'y associer.
Le plan de rénovation porte notamment sur la destruction et la reconstruction de 892 logements pour un montant de près de 100 millions d'euros. Cinq quartiers représentant plus de 60.000 habitants, soit 40% de la population d'Angers, sont concernés.
"Il s'agit comme le prévoit le plan Borloo d'éviter les ghettos, de créer de la mixité sociale et de remettre de l'activité dans ces quartiers", a expliqué Daniel Raoul, 2ème adjoint au maire d'Angers.
Sur les 223 millions d'euros, l'ANRU doit apporter un financement de 53 millions d'euros, le conseil général du Maine-et-Loire et le Conseil régional des Pays-de-la-Loire, environ 22 millions, la ville, 34 millions, et les bailleurs sociaux, 21 millions. La somme restante, soit environ 94 millions d'euros, sera financée par l'emprunt.
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3402] |
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| Posté le : 09/02/2005 à 00:24 (Lu 7770 fois) |
Article lu sur : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_524.php :
La Ville d’Angers, en partenariat avec l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), porte, depuis 1999, la démarche de développement durable comme axe stratégique de son développement. La particularité d’Angers est d’avoir bâti une politique pragmatique qui se traduit par des actions concrètes de terrain, dans les services municipaux et à l’échelle de la ville, et inscrites dans des plans d’action annuels.
En 2004, la Ville et l’Agglomération ont engagé une démarche plus globale avec la mise en oeuvre d’un Agenda 21 intercommunal.
Par ailleurs, en 2002, la Ville d’Angers a organisé le colloque national « Rio + 10, l’après Johannesburg » et proposera en octobre 2005 un deuxième colloque sur le thème : villes durables et urbanisme.
La Ville a également créée un Observatoire européen des bonnes pratiques. Ses objectifs : recenser et valoriser les actions locales de développement durable menées tant à Angers qu’au plan national et européen. Parmi les outils créés par cet Observatoire, la Revue Angers 21.
Comprendre l’engagement d’Angers pour le développement durable
À la différence des magazines ou journaux municipaux, la Revue Angers 21, a pour objet de traiter un thème de préoccupation des villes - l’urbanisme, l’environnement, les déplacements, l’éducation ou la concertation - et d’inciter à la réflexion, au débat et à l’action pour un développement urbain durable. La revue, s’articule autour de deux axes :
- un apport par témoignage ou réflexion d’experts, qu’ils soient spécialistes du domaine considéré, universitaires ou philosophes ;
- l’exemplarité de démarches menées par des collectivités, associations, entreprises qu’elles soient angevines, françaises ou étrangères.
Tiré à 15 000 exemplaires, la Revue Angers 21 à une double diffusion :
- locale auprès des élus, chefs d’entreprises, responsables d’organismes et d’associations, présidents et membres de conseils consultatifs de quartiers…
- nationale auprès des collectivités locales (grandes villes et agglomérations), réseaux développement durable, professionnels, suivant les thèmes universitaires…
Cette revue, destinée à enrichir le débat autour de projets locaux en ouvrant des perspectives, est aussi à la disposition de toute personne intéressée à la vie de la ville et à son développement.
Elle peut être téléchargée sur le site Internet de la Ville d'Angers
La création d'un tramway
Angers et son agglomération, ce sont 280 000 habitants, 30 000 étudiants et une croissance économique qui la situent dans le peloton de tête des métropoles françaises.
La création d’un tramway à Angers est une décision riche de sens et qui va bien au-delà des préoccupations liées aux déplacements des habitants de l’agglomération.
Mais là où, trop souvent, la modernité se montre peu respectueuse du passé, Angers choisit de préserver les équilibres et de les renforcer en organisant une nouvelle périphérie harmonieuse. Le tramway sera, bien sûr, l’un des atouts maître dans cette redistribution du paysage urbain.
Un tramway, pourquoi ?
La création du tramway angevin répond en premier lieu à deux objectifs majeurs.
D’une part, il s’agit bien sûr de faciliter les déplacements dans l’agglomération en privilégiant l’usage d’un mode de transport performant et non polluant.
Le Plan de Déplacements Urbains d’Angers Loire Métropole prévoit une augmentation de 40% des voyages en transports collectifs d’ici 2015. Un objectif ambitieux qui ne peut être atteint sans un profond réaménagement de l’offre actuelle des transports publics de l’agglomération.
D’autre part, il s’agit à terme de reconquérir les berges de la Maine, actuellement empruntées par l’autoroute Paris Nantes, vilaine balafre au coeur d’une ville par ailleurs préservée. Le tramway, associé au futur contournement de la ville par cette autoroute, permettra de réunir la ville et de rassembler les territoires tout en mettant un terme aux nuisances du tracé autoroutier actuel.
Un nouveau pont au dessus de la Maine va bientôt voir le jour au coeur d’Angers. Cet ouvrage sera réservé aux transports « propres » ; tramway, bicyclette, piétons. Ce symbole de la nouvelle relation entre le coeur d’Angers et sa périphérie marque l’engagement de la ville dans une politique de déplacements placée sous l’égide du Développement Durable.
Une nouvelle ville
Au-delà de ces deux raisons d’être du tramway, il y a l’ambition de réussir une nouvelle ville. Plus harmonieuse, mieux conçue pour absorber l’évolution des modes de vie des habitants d’une grande cité, cette ville sera déployée selon un schéma respectueux des orientations du Développement Durable.
Comme dans de nombreuses villes, Angers est confrontée aux conséquences nuisibles de l’éloignement de plus en plus important entre le lieu de travail et le lieu de résidence des habitants. Allongement de la durée des déplacements quotidiens, pollutions aérienne et sonore, engorgement des voies d’accès, dépenses d’énergies diverses, renchérissement des logements situés à proximité du centre, stress…
L’équipe municipale a donc décidé la création d’un nouveau grand quartier qui sera bâti sur les derniers terrains constructibles de l’agglomération. L’urbaniste Roland Castro a été chargé de ce projet baptisé Quartier des Capucins, réalisé selon les normes Haute Qualité Environnementale (HQE®). Ce nouveau quartier accueillera 4 000 nouveaux logements à l’horizon 2015-2020. Ce vaste programme sera organisé autour de l’arrivée du tramway.
Dans l’immédiate proximité du Quartier des Capucins sera créé le nouveau quartier des Plateaux de la Mayenne sur l’ancien aérodrome d’Avrillé, ainsi que, à l’initiative du Conseil Général du Maine-et-Loire, un Parc du Végétal. Il constituera un nouvel élément d’attractivité pour l’agglomération angevine qui en compte déjà plusieurs.
Le tracé de la première ligne de tramway desservira également des bassins d’emplois importants de l’agglomération angevine, 21 000 emplois concernés directement, ainsi bien sûr que l’hyper centre de la ville. Dans l’absolu, une partie des habitants n’aura par conséquent dans l’avenir plus besoin de recourir à l’automobile pour ses déplacements quotidiens.
Le coeur d’Angers constitue avant tout un pôle commercial et culturel dont l’aire d’attraction s’étend sur toute la métropole. Avec un centre accessible par tous modes de transports et un hyper centre peu à peu rendu aux seuls modes de circulation non polluants.
Une cohérence retrouvée
La création du tramway s’accompagne d’une dimension sociale constituant une préoccupation majeure du Projet d’Agglomération. Pour parvenir aux équilibres recherchés, Angers vient d’entreprendre son plus grand chantier de renouvellement urbain depuis la Libération. Au coeur, comme à la périphérie, de nombreux quartiers sont concernés par cette opération estimée à 280 M¤. Là encore, le tramway agira comme un véritable « créateur de lien » destiné à accroître les échanges entre les quartiers et leurs habitants.
L’ambition d’Angers est de devenir la capitale européenne du développement durable. Le projet de tramway est à la mesure de cette ambition, qui permettra l’émergence prochaine d’une cohérence retrouvée pour la cité des Plantagenêt.
En savoir plus
Site Internet officiel de la ville d'Angersauteur : Ville d'Angers
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3404] |
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| Posté le : 09/02/2005 à 00:48 (Lu 7766 fois) |
Très bon article, merci Micanjou ! 
Dis-moi, j'ai entenud parler pour le nouveau quartier des Capucins, d'un signal architectural fort (dixit Castro en 2000 je crois) : ça te dit quelque chose ?... 
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3411] |
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| Posté le : 09/02/2005 à 08:17 (Lu 7760 fois) |
Ouest- France, 9/02/2005
Citation
Le tramway roulera sur des rails
Le choix du comité de pilotage sera examiné jeudi en conseil d'agglo
Le comité de pilotage du tramway a préféré les rails aux pneus pour la première ligne. Ce choix capital sera soumis, jeudi soir, aux délégués du conseil d'agglomération. La fiabilité et les coûts de fonctionnement ont fait pencher la balance en faveur du fer.
Le comité de pilotage du tramway a déjoué les pronostics. Alors que la solution d'un tramway sur pneus tenait encore la corde ces derniers mois, le choix s'est porté sur l'équipement classique des rails. Il doit encore être soumis à l'approbation des élus de l'agglomération, ce jeudi soir.
Une fois résolue la question du tracé de la première ligne, la décision entre rails et pneus ne devait pas intervenir avant la fin du premier semestre 2005. Le calendrier a été bousculé car le maintien des deux hypothèses posait plusieurs problèmes. Pour la procédure d'enquête préalable à la déclaration d'utilité publique. Pour les études d'aménagement qui doivent être lancées rapidement si l'on veut que les premières rames roulent en 2009. Pour la construction du centre de maintenance au plateau des Capucins.
Il a donc fallu trancher. Qu'est-ce qui a fait pencher la balance ? Le pneu coûtait un peu moins cher à l'achat : environ 1,5 million d'euros par rame, contre 1,7 million pour le rail. Voilà pour l'investissement. En revanche, côté fonctionnement, le rail est moins onéreux. Il use moins la piste et n'oblige pas à changer les pneus...
Un choix politique
D'une manière générale, l'agglomération avait estimé le coût de la première ligne avec des pneus à 173 millions d'euros (14,4 millions/km), contre 192 millions (16 millions/km) pour le rail. Une « différence modérée », selon le comité de pilotage.
Le pneu est censé mieux gravir les pentes. Mais le rail permettra de monter la rue de la Roë sans difficulté, assurent les experts. Son rayon de braquage est plus important, de l'ordre de 15 à 20 m, ce qui aura des conséquences sur le tracé. Dans le même temps, il transporte plus de passagers : entre 200 et 300 personnes, contre 100 à 150 pour le pneu.
Le pneu a une image plus moderne. Sa technologie récemment développée a cependant posé des problèmes lors de la mise en service à Caen et Nancy, par exemple. L'option classique du rail est en revanche gage de fiabilité. Les voisins nantais n'ont qu'à s'en féliciter (lire ci-dessous). C'est certainement l'argument majeur dans le choix d'Angers Loire métropole. D'ores et déjà critiqué, le tramway ne supporterait pas un ratage dans sa mise en route. Le choix est aussi politique.
Guillaume BALLARD. |
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Le choix de la raison...
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3412] |
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| Posté le : 09/02/2005 à 08:20 (Lu 7758 fois) |
Ouest-France, 9/02/2005
Citation
Scania sur les chapeaux de roues
L'usine, boulevard de l'Industrie, a assemblé 10 000 camions l'an dernier
Martin Lundstedt, qui quittera Angers en juillet, se félicite de l'excellente année 2004.
L'usine Scania (500 salariés) a réalisé sa deuxième meilleure année de production avec, exactement, 9 987 camions assemblés. Le groupe suédois affiche la grande forme avec un chiffre d'affaires en progression de 12 % et un résultat net de 34 %.
« À 13 camions près, nous franchissions la barre des 10 000 ! » Il y aurait presque une pointe de regret dans le commentaire de Martin Lundstedt, directeur général de Scania production. En réalité, il se félicite de ce score, le deuxième meilleur depuis l'ouverture de l'usine, il y a 12 ans. Sachant que l'unité d'Angers a été la première à assembler la nouvelle série.
« Nous avons beaucoup participé à son lancement. Depuis trois ans, de nombreux opérateurs et techniciens sont allés en Suède. 60 personnes ont suivi une formation spécifique. » Aux vacances d'été, 47 nouveaux camions étaient assemblés. Et le 16 août, l'ensemble de l'usine basculait pour produire le nouveau modèle. En l'espace de dix mois, toute la gamme sera renouvelée.
À l'image d'Angers, le groupe suédois se porte bien. Avec une production globale de 60 000 véhicules (+ 23 %), un chiffre d'affaires de 6,3 milliards d'euros (+ 12 %) et un résultat net de 453 millions (+ 34 %). « Un excellent niveau. Après deux années plutôt faibles, les transporteurs ont dû renouveler leur parc. Avec, notamment, une vente de véhicules d'occasion plus forte dans les pays de l'Est. »
Fête pour le 100 000e
Les chiffres sont à la hausse sur tous les marchés, aussi bien en volume qu'en chiffres d'affaires. Malgré tout, Scania a perdu des parts de marché. En France, il s'établit désormais à 8,8 %, derrière Renault, Mercedes, Volvo et Daf. En Europe, il atteint 13 %, derrière Mercedes, Volvo et Man. « Nous ne faisons pas la course aux parts de marché, insiste Gilles Baustert, de Scania France. Nous n'avons pas fourni certaines grosses flottes, les conditions de vente n'étant pas suffisamment intéressantes. Nous réfléchissons d'abord en terme de rentabilité. » Et là, le groupe suédois bat tous les records avec une marge de 12 %.
Angers devrait poursuivre sa progression en 2005. Le 100 000e camion assemblé sur le site est attendu pour la fin avril. Avec une grosse fête à la clé. La dernière pour Martin Lundstedt qui vient d'être nommé directeur du département marketing du groupe. Robert Dubois, de nationalité suédoise, doit lui succéder en juillet.
Jean-Michel HANSEN. |
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3423] | |
| Re: Angers, cité laboratoire ? [3432] |
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| Posté le : 09/02/2005 à 23:05 (Lu 7753 fois) |
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Dis-moi, j'ai entenud parler pour le nouveau quartier des Capucins, d'un signal architectural fort (dixit Castro en 2000 je crois) : ça te dit quelque chose ?... |
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Oui ca me dit quelque chose, j'ai lu ça mais il y a lgtps, je vais voir ce que je retrouve dans mes archives... 
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Le choix de la raison... |
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On a évité la déraison !  Oufffff !
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3438] |
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| Posté le : 10/02/2005 à 12:26 (Lu 7750 fois) |
Ouest-France, 10/02/2005
Citation
jeudi 10 février 2005
Tramway : le choix du rail a fait débat
Le dossier sera examiné ce soir par tous les élus
Les délégués du conseil d'agglomération devront se prononcer, ce jeudi soir, sur le choix du rail pour la première ligne de tramway. Ils devraient suivre l'avis du comité de pilotage, sachant que le sujet a déjà été discuté le 20 janvier lors du conseil privé d'Angers Loire métropole.
Le tramway d'Angers roulera donc sur des rails. Le comité de pilotage a tranché, aux dépens de l'option pneus. Ce choix sera soumis ce soir aux élus du conseil d'agglomération. Le vote semble une formalité. D'autant que le débat a déjà eu lieu, le 20 janvier, lors du conseil privé d'Angers Loire métropole. Chaque délégué avait pu exprimer son avis. Bernadette Caillard-Humeau, conseillère municipale angevine de l'opposition et déléguée de l'agglo, avait milité en faveur du rail. Ses arguments éclairent ce qui a fait pencher la balance. À commencer par la fiabilité. « Le guidage des tramways sur pneu n'est pas encore complètement au point, qu'il soit optique ou par rail central. Le fer a fait ses preuves depuis plus d'un siècle. » Le coût d'exploitation entre aussi en ligne de compte. Outre le fait qu'ils s'usent, « les pneus créent des ornières. La préparation du terrain nécessite autant d'investissement que pour le fer. » De plus, en terme d'investissement, la concurrence des constructeurs est très limitée pour le pneu. On peut en revanche la faire jouer pour le fer.
Élément structurant dans la politique de la ville, le tramway sur rails « marque mieux son empreinte. On peut faire des choses superbes, comme à Nantes ou à Strasbourg, en mettant de l'herbe entre les voies. Le tramway devient un élément d'aménagement paysager. Au contraire, le pneu favorise la minéralisation de l'espace et nécessite un retraitement régulier de la chaussée. » Autre argument en faveur du rail, il marque mieux son territoire. L'option fer devient donc gage de sécurité. « Il ne viendrait à personne l'idée de rouler avec sa voiture sur des rails. Et d'instinct, les piétons traversent une voie ferrée avec prudence. » Enfin le tramway sur rails permet d'embarquer un plus grand nombre de passagers par rame.
Autant d'avantages qui ont pesé dans le choix final. La solution du pneu aurait pourtant représenté un investissement légèrement inférieur à celui du rail.
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3439] |
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| Posté le : 10/02/2005 à 12:37 (Lu 7749 fois) |
@ Micanjou :
Exact, je voyais ça très mal parti en cas de tram sur pneus, les ennuis n'auraient pas cessé... Là au moins, les travaux vont être longs et pénibles, mais les angevins sauront pourquoi, puisqu'ils connaissent assez bien ce qu'est un tram-fer (comme celui de Nantes) et qu'ils sauront se montrer plus patients...
Là au moins Angers part en terrain connu du pt de vue technologie et maintenance. En plus, les réflexions réelles vont pouvoir commencer. J'avais dit que la mairie ne donnait plus que des chiffres de tram sur rail de tte façon, et J. Landreau m'avait dit en off il y a déjà trois ans que son coeur penchait pour le tram sur rails...
Pour le signal des Capucins, par contre, je ne trouve rien pour le moment. J'ai dû lire ça dans un "Vivre à Angers" qui date... Pas d'autre source pour le moment...
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3524] |
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| Posté le : 11/02/2005 à 08:25 (Lu 7739 fois) |
Ouest-France, 11/02/2005
Citation
Sans surprise, les délégués de l'agglomération ont entériné hier soir le choix du fer pour le tramway à Angers.
« Il n'existe plus qu'une seule entreprise, Lohr, à fabriquer le tramway sur pneus, a rappelé Jean-Claude Antonini. En face, huit sociétés européennes (1) sont sur le marché du fer. On peut donc espérer faire jouer la concurrence pour baisser les prix. » Voilà l'un des arguments qui ont fait pencher la balance du côté de l'option rails pour le tramway d'Angers.
Hier soir, les délégués d'Angers Loire métropole ont voté le projet. À l'exception des cinq voix de l'opposition, dans sa logique du non au tracé et au financement. « Je crois que l'intérêt de l'agglomération et des Angevins passent par de véritables échanges d'arguments en séance publique », a ajouté Laurent Gérault, vexé d'avoir découvert le choix du mode dans la presse.
Le coût du projet est estimé à 15 millions d'euros par kilomètre, soit 180 millions pour les 12 km de la première ligne. Ce budget comprend le prix du matériel, la construction du centre de maintenance et l'aménagement des voies. « Sur une base standard. Si certaines communes veulent d'autres équipements, elles le financeront », a prévenu Jean-Claude Antonini.
L'argument majeur en faveur du rail reste la fiabilité. « Je n'ai pas envie que le tramway d'Angers serve d'expérimentation... » Caen et Nancy ont déjà donné. C'est l'avantage d'avoir attendu un peu plus longtemps que les autres métropoles.
L'impact sur l'environnement n'a pas joué dans le choix. L'essentiel des nuisances ne vient pas du mode de roulement, mais des éléments extérieurs, comme la climatisation ou le système électrique. Au nom des Verts, Gilles Mahé s'est félicité de ce choix « économiquement responsable, stratégiquement cohérent et écologiquement évident. Le fer est plus structurant et offre une priorité de circulation sur les voitures. »
Pas de caténaires en centre-ville
Le pneu est réputé franchir des côtes de 13 %, contre 10 % pour le rail. À Angers, les voyageurs n'auront pas à descendre pour pousser les rames. Sur le parcours, le maximum atteint 8 % rue de la Roë et vers le plateau des Capucins. Le pneu comme le rail présentent le désagrément des vibrations. « Un traitement spécifique, en matériau composite, sera réalisé dans l'hyper-centre d'Avrillé et d'Angers pour absorber ces vibrations. »
Pas question non plus de faire passer des fils suspendus au coeur de ces deux communes, comme l'a répété Marc Laffineur, le maire d'Avrillé. Dans ses rues, mais aussi place du Ralliement, rue de la Roë et rue d'Alsace, l'alimentation par les caténaires sera remplacée par un autre système : soit celui de Bordeaux, avec une alimentation par un rail central ; soit des batteries autonomes embarquées. Le choix n'est pas défini. Il dépendra des propositions des constructeurs. « Attention au surcoût », a remarqué Bernard Witasse, le maire de Montreuil-Juigné. « J'espère que cela ne nuira pas à un prolongement du tramway vers les communes de la deuxième couronne. »
L'appel d'offres sera lancé en mars. Le candidat sera retenu début 2006. Il aura deux ans pour construire les rames angevines. Les travaux sur la chaussée seront lancés au second semestre 2006, à l'issue de la Déclaration d'utilité publique. Ils s'étaleront jusqu'à fin 2008. Les premiers essais roulants sont programmés début 2009.
(1) Alstom (France), Bombardier (Canada, Allemagne, Belgique, Grande-Bretagne), Siemens (Allemagne), Stadler (Suisse), Ansaldo (Italie), CAF (Espagne), Skoda (République tchèque) et Lod (Pologne). |
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Bon eh bien très bonne nouvelle, Micanjou doit être comme moi ainsi que tous les copains du forum Lineoz Snocotra que je salue ici et qui doivent fêter ça ! Cheers !  
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3525] |
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| Posté le : 11/02/2005 à 08:28 (Lu 7738 fois) |
Ouest-France, 5/02/2005
Citation
Noz crée 100 emplois sur le site d'ACT
Angers Loire métropole a trouvé un accord pour une plate-forme logistique
Noz, la société spécialisée dans le discount, a signé hier avec Angers Loire métropole pour racheter les locaux de l'ancienne usine ACT. Une plate-forme logistique pour le Grand Ouest va être créée, avec 100 emplois à la clé.
Une bonne nouvelle n'attend pas. Jean-Claude Antonini l'a annoncée hier soir en préambule au conseil d'agglomération d'Angers Loire métropole : Noz va implanter sa plateforme logistique pour le Grand Ouest sur l'ancien site d'ACT. L'accord entre la collectivité et la société de discount venait d'être signé dans la journée.
Dans les 32 000 m2 d'ateliers et de bureaux, les marchandises seront préparées avant leur expédition dans une quarantaine de magasins. Cela signifie « au minimum 100 emplois », s'est félicité le président de la métropole, sans préciser toutefois de date. Sévèrement touchée par les fermetures ces derniers mois, l'agglomération angevine peut se féliciter d'avoir réalisé une telle opération. L'usine ACT avait fermé en décembre 2002, laissant 660 salariés sur le carreau.
L'affaire aurait cependant pu être conclue plus tôt. Noz avait déjà tenté de négocier le rachat de l'ancienne usine ACT, avant l'été, auprès de l'administrateur judiciaire. Dans le cadre du contrat de site, le dossier lui avait été présenté par l'agence de développement économique du Grand Angers et par le comité d'expansion économique du Maine-et-Loire. Mais les deux parties ne s'étaient pas entendues sur le prix.
Faute d'autres repreneurs, l'usine devait être vendue aux enchères début décembre. Mise à prix : 1,5 million d'euros. In-extremis, elle avait été repoussée. Angers agglomération développement, le bras armé de la collectivité, avait repris les négociations avec l'administrateur. Mi-décembre, l'agglomération était parvenue à racheter le site industriel pour 1,5 million d'euros.
Devenue Angers Loire développement depuis le 1er janvier, l'agence économique a relancé le dossier Noz. Elle a en fait servi d'interface, « de facilitateur » selon Jean-Claude Antonini. Et hier, la métropole a fait jouer sa clause de substitution avec la société Angers perspective, créée par Noz pour ce dossier. Elle est ainsi devenue propriétaire du site pour 1,5 million d'euros. Elle projette d'y investir 3 millions pour construire sa plate-forme.
Guillaume BALLARD. |
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Qu'on reconvertisse ACT est une bonne chose, surtout si les emplois sont ceux de gens qui avaient souffert lors de la fin de ce pôle informatique... Le problème de la logistique, c'est qu'elle grignote énormément d'espace pour une rentabilité moindre et peu d'employés... Mais c'est toujours mieux que rien. 
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3617] |
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| Posté le : 11/02/2005 à 22:38 (Lu 7723 fois) |
La com institutionnelle d'Angers Loire Métropole :
Citation
Oui au tramway sur fer !
Actualités
Le 10 février 2005, les élus, réunis en Conseil d’Agglomération, ont décidé de lancer une consultation auprès des seuls fabricants de tramways ferrés. Les raisons de ce choix : la sécurité tant sur le plan technique que sur le plan financier.
Le tramway sur fer, quelque soit son fabricant (Siemens, Alstom, Bombardier, Ansaldobreda …) a fait ses preuves depuis très longtemps. Il a démontré sa fiabilité mais aussi sa capacité à s’améliorer. Il suffit de voir le très bon état des premières rames de Nantes pourtant âgées de 20 ans et, dans le même temps, l’amélioration de la qualité (confort, silence, souplesse, accessibilité) des nouvelles rames fraîchement mises en circulation.
Le seul tramway sur pneu qui répondait aux impératifs de capacité du projet angevin était le Translhor, tramway sur pneu nouvelle génération choisi par Clermont Ferrand mais, n’ayant pour l’heure, jamais roulé en site réel.
Choisir le fer, c’est également permettre au jeu de la concurrence de s’exprimer et ainsi « tirer » les meilleurs prix possibles pour le matériel roulant. Preuve en est, à Nantes, les rames qui roulent aujourd’hui ont été fabriquées pour les plus anciennes par Alstom et pour les plus récentes par Bombardier.Qui plus est, les études comparatives sur le bruit, argument souvent cité en faveur du tramway sur pneu ont montré qu’à faible vitesse, c’est-à-dire dans les lieux les plus habités, là où la notion de bruit est donc la plus importante, la différence entre les deux matériels n’était que de 1 décibel.
La consultation pour le matériel roulant sera lancée dès le printemps 2005.
Ce choix effectué, les élus ont également pu lancer la procédure de concours pour la construction du centre de maintenance qui sera situé le long de la partie non couverte de l’A11, à côté de l’ancien aérodrome. L’architecte devrait être retenu au début de l’été 2005 pour un début des travaux à l’automne 2006.
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http://www.agglo-angers.fr/tramway/
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3625] |
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| Posté le : 12/02/2005 à 01:35 (Lu 7718 fois) |
Bonjour,
En tant qu'Angevin j'ai suivi ce post avec intérêt, un grand merci pour toutes ces informations 
En relisant tout ça je me suis rappelé d'un projet de préfecture très audacieux d'un point de vue architectural. Ce projet qui a avorté vers 1997 ou 98 je crois (coût jugé exorbitant, certains y voyant l'expression de la mégalomanie de Monnier (qui s'est finalement vengé en obtenant son aéroport aujourd'hui ingérable)) prévoyait la construction d'une imposante préfecture toute en verre, au niveau du front de Maine.
Je ne sais pas si tu avais entendu parler de ce projet MyNight, j'arrive pas à retrouver des photos, peut etre en posséde tu? J'aimerais bien retrouver les plans originaux, je me souviens les avoir vu dans le courrier de l'ouest.
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3634] |
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| Posté le : 12/02/2005 à 10:35 (Lu 7712 fois) |
Bienvenue à toi Hoegaard ! 
Très heureux d'accueillir un autre angevin dans notre forum
Oui, je me souviens très bien du projet dont tu parles. Il devait se situer au Front de Maine, à l'emplacement même de la future ADEME.
Le lieu est successivement pressenti pour accueillir le nouvel hôtel de ville (en 1971), puis l’hôtel du Département ou la préfecture. C’est finalement le vaste programme immobilier de Vasconi, envisagé dès 1986, qui remplace l’abattoir démoli en 1991.
Ce projet a une histoire intéressante. Le premier à avoir conçu la préfecture n'était autre que Claude Vasconi (1922-1996), qui avait imaginé un immeuble à R+12 comme "une tête de pont symbolisant l'ancrage de la ville sur le fleuve".
Il a été ensuite question en effet d'un bâtiment absolument incroyable, en verre et acier qui représentait était conçu autour d'un parallèlépipède de verre traversé par de gros blocs d'acier de couleur bronze qui paraissaient suspendus dans l'espace.
Ce projet pharaonique avait été acté par Charles Pasqua alors ministre de l'intérieur, mais annulé par Chevénement pour des raisons de coût en effet.
Des photos de maquette étaient parues dans "Vivre à Angers", je ne parviens hélas pas à remettre les mains dessus. Pas de photo sur Internet non plus pour le moment.
Finalement, on a préférer rénover la préfecture actuelle, qui est en fait ce qui reste de l'abbaye St Aubin et qui est partagée par le conseil général de Maine et Loire...
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3646] | |
| Re: Angers, cité laboratoire ? [3647] |
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| Posté le : 12/02/2005 à 11:47 (Lu 7705 fois) |
Merci pour la photo du premier projet, je ne le connaissais pas. Il étaut impressionnant aussi celui-là...
Bien sûr c'est du 2ème que je parlais, il m'avait frappé avec son architecture complétement folle qui n'aurait pas déteint au Futuroscope
Je vais continuer à chercher un peu sur le net, sans beaucoup d'espoir
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3648] |
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| Posté le : 12/02/2005 à 12:00 (Lu 7704 fois) |
@ Micanjou
Merci pour les infos Micanjou. Le plan masse est achevé, je pense que les seules choses qui sont attendues maintenant, ce sont la fin du contournement A11 et le tramway qui passera sur la couverture de ladite autoroute...
Mais par exemple, j'ai le sentiment qu'on n'en est même pas encore au plan masse, juste aux schémas de principe. Donc je ne crois pas qu'il y ait de rendu disponible encore.
La gare de maintenance du tram sera aussi aux Capucins je crois, pas vrai ?
@ Hoegaard
Très difficile de trouver... Une manière de faire serait de se rappeler de l'architecte, et je crois me souvenir (sans trop de conviction) que c'était soit Nouvel, soit Roland...
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3680] |
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| Posté le : 12/02/2005 à 14:50 (Lu 7699 fois) |
LE MONDE | 12.02.05 | 13h29
Citation
La Socpresse va céder trois quotidiens à "Ouest-France"
Le rachat, par l'éditeur du premier quotidien français Ouest-France, du pôle ouest de la Socpresse, l'ancien groupe Hersant racheté en 2004 par Serge Dassault, devrait être officialisé prochainement. Le groupe Ouest-France a trouvé un accord de principe avec la Socpresse pour reprendre trois quotidiens régionaux, Le Courrier de l'Ouest, Le Maine libre et Presse Océan (qui édite également Vendée-Matin). Ces titres représentent ensemble un tirage de plus de 200 000 exemplaires et salarient près de 700 personnes.
"Nous comptons sauvegarder l'indépendance éditoriale complète des trois titres", promet, dans un entretien donné, vendredi 11 février, à l'Agence France-Presse, le PDG du groupe rennais, François-Régis Hutin. La conclusion formelle d'un accord ne pourrait intervenir, rappelle-t-il, "qu'après la consultation des comités d'entreprise des sociétés du pôle ouest -de la Socpresse- concernées, qui se réuniront le 22 février". Un comité d'entreprise extraordinaire d'Ouest-Francesera ensuite convoqué le 23 février. Le premier quotidien français (près de 800 000 exemplaires sur 12 départements des régions Bretagne, Basse-Normandie et Pays de la Loire) emploie 1 900 salariés, dont 550 journalistes.
La finalisation de l'opération est subordonnée "à l'accord des autorités de régulation de la concurrence et, concernant la télévision nantaise, du Conseil supérieur de l'audiovisuel", a rappelé M. Hutin. La chaîne de télévision locale Nantes 7 était en effet incluse dans le projet de rachat. En revanche, le FC Nantes Atlantique (FCNA), club de football de Ligue 1, dont la Socpresse est actionnaire majoritaire, n'est pas concerné par ce projet.
- (AFP.)
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 13.02.05
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| Re: Angers, cité laboratoire ? [3708] |
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| Posté le : 12/02/2005 à 17:05 (Lu 7692 fois) |
Exact Micanjou, cela vient de Dassault qui ne veut pas s'encombrer avec la PQR, mais seulement utiliser la PQN... On peut dire donc que Ouest France va devenir un monstre, tandis que je ne sais pas du tout ce qu'il adviendra du populaire Courrier... Ca va faire double emploi, pas sûr que ça survive très longtemps...
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